« Quand on pense à l’addiction, on a une représentation très zombifiante de l’activité : ce serait une activité qui est faite automatiquement, sans réfléchir, qui n’exigerait aucun effort, ni mental, ni psychique, ni intellectuel. Or, quand on joue aux jeux vidéo, c’est totalement faux. Je ne trouve pas, et mes collègues non plus, que des personnes qui ont une pratique excessive du jeu vidéo jouent comme des zombies, ou qui ne réfléchissent pas. Au contraire, ils y retrouvent tellement que ça se répercute dans leur vie quotidienne. «
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